Ce week-end a été marqué par une grande mobilisation du Parti socialiste. D’abord, parce qu’il a réuni plus de 2000 secrétaires de sections de tous nos territoires mais aussi des Français de l’étranger, pour discuter et porter notre feuille de route vers tous les militants et les citoyens dans le pays.

Malgré les difficultés économiques et sociales, les inquiétudes et parfois les doutes qui s’expriment, ce qui était le plus remarquable, le plus démonstratif, c’est la grande disponibilité, la grande envie de mener le combat, et de porter fièrement les réformes et le changement entrepris par le Président de la République, et le gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Parce que dans chaque décision, il y a le sceau de la justice, et parce ces secrétaires de section, ces cadres du Parti socialiste, au plus près de nos concitoyens pensent que la gauche qui travaille pour le pays , c’est celle qui gouverne aujourd’hui, et qu’il n’y a pas d’alternative à gauche à ce qui est entrepris.

Alors que nous sommes au pouvoir, cette version du rassemblement des secrétaires de section, qui a lieu depuis 18 ans est une des plus massive et des plus réussie.

Voilà pour ceux qui parfois se demandent si le Parti socialiste est en forme, s’il trouve sa place dans ce nouveau contexte : le PS ce sont ces milliers de cadres, qui sont à l’image de nos concitoyens dans les quartiers, les villes et les villages, qui sur tout le territoire portent fièrement les convictions et les réalisations de la gauche.  

Mais pas seulement, ils vont partout proposer le débat, être les porte-parole du changement, comme le Premier secrétaire les a invités à le faire, mais aussi continuer à être les promoteurs de la réflexion sur tous les sujets où il faut encore inventer et proposer : l’environnement et l’Europe par exemple.

C’est un Parti qui se prépare aussi à mener la bataille des municipales, sur la base de ses projets locaux, de ses réalisations locales, et de la légitimité de ses projets pour les habitants dans la plupart des villes que nous dirigeons avec la gauche. Et quand on voit un PS samedi si prêt, si motivé, on se demande par contraste : où est l’UMP ? Où est l’opposition ?

Retrouver mon discours ici: