David Assouline

De Séfrou à la Vice-présidence du Sénat

Je suis né le 16 juin 1959 à Séfrou dans le Moyen-Atlas au Maroc, émigre en France, à Creil (Oise) en 1967 et naturalisé français en 1973. 

Je vis dans le 20ème arrondissement de Paris depuis 1980. Je suis marié et père de 3 enfants. 

Le 24 septembre 2017, j’ai été réélu sénateur de Paris. A l’occasion de ce renouvellement sénatorial, le groupe socialiste et républicain m’a nommé Vice-président du Sénat. Je suis également membre de la Commission de la culture, de l’éducation et de la communication, et depuis cette année, je préside la délégation du Sénat chargée des nouvelles technologies numériques, de l’open data et d’internet.

Professeur d’Histoire-Géographie, j’ai enseigné de 1987 à 2004.

Je suis co-auteur de Notre Printemps en hiver, Editions La Découverte,1987, de la trilogie Un Siècle d’immigrations en France : De la mine au champs de bataille (1851-1918), De l’usine au Maquis (1918-1945), Du Chantier à la citoyenneté (1945 à nos jours), Editions Syros 1995-1997.

J’ai également écrit et réalisé le film documentaire « Entre Paradis perdu et Terre promise » sur l’histoire des juifs du Maroc (60 mn, Mercredi de l’Histoire, Arte. 1997).

Je suis auteur de plusieurs recherches, études et expositions sur la répression des Algériens en France pendant la guerre d’Algérie, co-auteur de A propos d’octobre 1961 (Editions ANM, 2001), et j’ai découvert les archives du parquet de Paris prouvant de façon irréfutable les dizaines de morts algériens suite à la répression policière sous les ordres de Maurice Papon du 17 octobre 1961.

J’ai été membre du collectif d’organisation de la Marche contre le racisme et pour l’égalité des droits en 1983 (dite « marche des beurs »), et de Convergences 84 pour l’Egalité.

J’ai été élu porte-parole de la coordination nationale étudiante contre la loi Devaquet en 1986 qui a obtenu le retrait de la Loi. 

J’ai fondé le mouvement « Faut pas décoder » contre la réforme du code de la nationalité en 1993.

Je fus co-fondateur du mouvement  « Stop La Violence » en 1999.