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Mardi 26 février 2013
Communiqué de presse

David Assouline, porte-parole du Parti socialiste 

 

 La droite se vautre dans l’insulte et le déni de son échec

La droite multiplie les insultes contre le chef de l’Etat et attaque la politique économique de notre pays tentant de masquer l’état pitoyable dans laquelle elle se trouve.

Faute de courage sur leur bilan d’échec et d’idées pour la France, François Fillon, Nathalie Kosziusko-Morizet et Luc Chatel rivalisent dans l’anathème et la mauvaise foi.

La vérité est que la droite, enfermée dans ses dogmes libéraux, est allergique à la politique de redressement dans la justice que mène François Hollande. Bien gérer, répartir équitablement l’effort, investir dans l’avenir, c’est l’inverse de ce qu’ils ont fait et veulent toujours faire : eux qui ont laissé 600 milliards de trou dans les comptes publics et 1 million de chômeurs supplémentaires, distribué des cadeaux aux plus riches, tout en étranglant les PME et l’investissement, et en sacrifiant l’avenir des jeunes et de l’école.

Pendant que le gouvernement est au travail, que fait la droite ? Rien ! Nous avons la droite la plus inutile du monde, une droite décapitée, qui n’a pas fait une proposition constructive en neuf mois. La droite, congelée par Nicolas Sarkozy au moment de son départ, tente de sortir de sa glaciation idéologique par la polémique mais ses responsables sont paralysés : pas une idée, pas d’unité, pas de chef.

Pendant ce temps, la mobilisation de François Hollande à lutter contre le chômage est totale. Il mène la bataille pour l’emploi avec 150.000 emplois d’avenir, 500.000 contrats de génération, le plan de compétitivité-emploi de 20 milliards, la Banque Publique d’Investissement, un accord social qui permet l’adaptabilité des entreprises, qui crée une sécurité sociale professionnelle et lutte contre la précarité.

Il a rappelé l’objectif d’inversion de la courbe du chômage en 2013. Tous les instruments mis en place par l’exécutif doivent permettre d’atteindre ce but. Sachant que l’ensemble des acteurs et des moyens de l’Etat sont déployés pour y parvenir. Il a rappelé aussi que la situation ne s’améliorerait à l’échelle européenne qu’en 2014.

La droite devrait arrêter de faire du « sarkozysme  discount » et se consacrer plus aux Français qu’à ses surenchères internes, et enfin être utile au débat démocratique nécessaire à notre pays.